Liste des actes selon le ministère.
L’épidémie due au COVID-19 ne doit pas entraver la prise en charge normale des patients. Les dommages collatéraux induits risqueraient d’avoir plus de conséquences en termes de mortalité et de morbidité que la maladie elle-même : -Les autres maladies ne vont pas s’arrêter pendant la pandémie . •En sortie de confinement la situation devrait evoluer, mais les précautions liées a la circulation du virus seront a respecter de maniere absolue lors des actes medico-chirurgicaux. . .Ce qu’il faut comprendre Les coronavirus se transmettent essentiellement par les grosses gouttelettes émises en parlant, mais surtout en toussant et en éternuant. Le risque de transmission au sein d’une famille semble beaucoup plus important que dans toutes les autres situations. Conséquences : • Une distance de 1 à 2 m est suffisante pour limiter le risque de transmission. • Les masques chirurgicaux sont généralement suffisants.,mais ils doivent etre surtout portés par celui ou celle qui tousse.... •la transmission par les mains joue un rôle non négligeable .Conséquences : • Le lavage des mains à l’eau et au savon est efficace à condition qu’il soit bien fait et dure suffisamment longtemps (20 à 30 ‘’). • Les solutés et autres produits hydro-alcooliques (SHA) doivent être utilisés à chaque fois qu’une source d’eau n’est pas disponible. De plus, il est possible qu’ils aient un effet rémanent (le produit restant actif plusieurs minutes). Les coronavirus peuvent persister quelques heures sur les surfaces et les objets, mais sont sensibles aux désinfectants habituels des surfaces (spray, lingettes, liquides) Conséquences : • Supprimer les objets non nécessaires des salles d’attente et de consultation . •Désinfecter souvent les surfaces et les objets indispensables. A propos des masques Quelle est leur fonction,sont ils utiles? la communication gouvernementale a été particulierement mauvaise , et contradictoire,sans entrer dans la polémique ,precisons que les masques ont une fonction evidente et majeure pour limiter cette epidémie. leur fonction primaire est de limiter la diffusion du virus en considerant que c'est la personne masquée qui est infectée et donc doit eviter de disseminer la maladie,tout le monde devrait donc en porter ce qui alors protegerait chacun. malheureusement cette evidence n'a pas été correctement expliquée. la nature du masque importe peu meme si il est bricolé ,ce qui compte c'est son role de barriere a l'emission du virus. Certains masques ont par ailleurs une action protectrice pour celui ou celle qui le porte,ce sont les masques chirurgicaux ,efficaces environ trois heures,et les ffp2 qui ont une meilleure durée. Attention cependant car cela n'est vrai que si l'on maitrise bien la technique ,c'est a dire ne pas toucher du tout la face pendant la durée du port du masque,pas si simple.... au fait les masques peuvent etre recyclés par exemple en les mettent au four a 60 degrés pendant 30 minutes... A propos des tests il en existe de deux types ,ceux qui recherchent le virus,prelevement par ecouvillon naso-pharingé,et ceux qui recherchent des anticorps temoignant du contact viral.Dans la realité aucun n'est disponible facilement, de plus il existe de nombreux faux negatifs...; Pour les consultations 1) Mesures concernant les consultations "classiques" •Le patient vient si possible avec son propre masque.... •Le patient vient avec son stylo et son chequier a privilegier aux especes.(nous ne sommes pas equipés de lecteur banquaire) •L’accompagnant, dans le mesure du possible, reste dehors. •respecter autant que possible les horaires de consultation. •En cas de symptômes évocateurs de COVID, informer le secrétariat le plus tôt possible pour convenir si besoin d’un autre rendez-vous (en accord avec le médecin),mais il sera fait un Interrogatoire de pré consultation au stand ou à l’accueil. Recherche de signes d’alerte COVID (si oui, depuis quand ?)Toussez-vous ?Avez-vous de la fièvre, ou sensation de chaud-froid ?Ressentez-vous des courbatures, douleurs musculaires ?Vous sentez-vous anormalement fatigué ?Avez-vous perdu le goût et/ou l’odorat ?Présentez-vous un écoulement nasal ?Ressentez-vous une gêne respiratoire ?Présentez-vous une gêne et/ou rougeur et/ou sécrétion oculaires ?Présentez-vous des engelures aux doigts (rougeur, gonflement, cloques) ?Avez-vous été en contact avec une personne COVID ? Questionnaire covid

Lien Medaviz .
Pour l'heure la situation est en pleine évolution,et nous devrons adapter l'offre de soins en fonction du bénéfice risque spécifique a chacun et des limites fixées par les administrations. De plus pour les interventions chirurgicales: il existera un double controle avant entrée et a l'entrée dans les cliniques ,un formulaire administratif supplementaire concernant le Covid,et une régulation des plateaux techniques afin de limiter les risques de contagion,et la durée de l'hospitalisation. L'idée étant bien sur de n'operer que des patients non contagieux ou a risques ultraréduits . conséquence : Importance de parfaitement respecter tout les gestes barriere dans les 15 jours précédant la chirurgie ,afin de ne pas etre en phase d'incubation préclinique (c'est à dire sans symptomes ) avant l'opération,ce qui entrainerait un sur-risque important. , Pour ceux ,ou celles qui souhaitent un peu de "science" mode d'action du virus Au cours des derniers jours, une montagne de publications est apparue à New York, en Italie, en Espagne, etc. concernant le COVID-19 sur les caractéristiques des patients qui tombent gravement malades. Il n'y aurait ni «pneumonie» ni SDRA. Du moins, pas le SDRA avec les protocoles et procédures de traitement établis que nous connaissons. Les ventilateurs ne sont pas seulement la mauvaise solution, mais l'intubation à haute pression pourrait en fait causer plus de dommages qu'en son absence. Les dernières 48 heures ont vu une sorte de révélation: Le COVID-19 provoque une hypoxie prolongée et progressive en se liant aux groupes hémiques de l'hémoglobine dans les globules rouges. Les gens désaturent simplement et ceci mène fà des défaillances d'organes qui les tuent. Tous les dommages aux poumons sur les scanners proviedraient de la libération de fer oxydatif par les hèmes, ce qui submerge les défenses naturelles contre le stress oxydatif pulmonaire et provoque cette belle opacité du verre dépoli toujours bilatérale dans les poumons. Les patients revenant pour une réhospitalisation des jours ou des semaines après leur convalescence et souffrant d'une leucoencéphalopathie post-hypoxique retardée renforcent la notion que les patients COVID-19 souffrent d'hypoxie malgré l'absence de signes de fatigue respiratoire ou d'épuisement. Les globules rouges transportent l'oxygène des poumons vers tous les organes et le reste du corps. Les globules rouges peuvent le faire grâce à l'hémoglobine, qui est une protéine composée de quatre «hèmes». Les hèmes ont un type spécial d'ions de fer, qui est normalement assez toxique sous sa forme libre, enfermé en son centre avec une porphyrine agissant comme son «récipient». De cette façon, l'ion fer peut être mis en cage et transporté en toute sécurité par l'hémoglobine, mais utilisé pour se lier à l'oxygène lorsqu'il atteint les poumons. Lorsque les globules rouges atteignent les alvéoles où se produisent tous les échanges gazeux, ce petit ion fer bascule entre les états FE2 + et FE3 + et se lie à l'oxygène, puis part livrer l’o2 ailleurs. C'est là qu'interviendrait lebCOVID-19. Ses glycoprotéines se lient à l'hème, et ce faisant, l'ion fer oxydant spécial et toxique est «dissocié» et se déplace librement tout seul. C'est mauvais pour deux raisons: 1) Sans l'ion fer, l'hémoglobine ne peut plus se lier à l'oxygène. Une fois que toute l'hémoglobine est altérée, le globule rouge devient inutile et ne fait que courir avec le virus COVID-19 attaché à sa porphyrine. Tous ces continngents inutiles qui ne livrent pas d'oxygène sont ce qui conduit à la désaturation. C'est un peu comme un empoisonnement au monoxyde de carbone, dans lequel le CO est lié à l'hémoglobine, ce qui la rend incapable de transporter l'oxygène. Dans ces cas, les ventilateurs ne traitent pas la cause profonde; les poumons du patient ne se «fatiguent pas», ils pompent très bien. Les globules rouges ne peuvent tout simplement pas transporter l'O2. Mais dans ce cas, contrairement à l'intoxication au CO dans laquelle le CO peut éventuellement se dissocier, l'hémoglobine affectée est définitivement privée de sa capacité à transporter de l'oxygène car elle a perdu son ion fer. Le corps compense ce manque de capacité de transport d'O2 en libérant par les reins des hormones comme l'érythropoïétine, qui ordonnent à la moelle osseuse d'augmenter la production de nouveaux globules rouges avec de l'hémoglobine fraîchement préparée et pleinement fonctionnelle. C'est la raison pour laquelle on constate une augmentation de l'hémoglobine et une diminution de la saturation en oxygène dans le sang comme l'un des 3 principaux indicateurs pour savoir si le décès apprche. 2) Des millions d'ions fer libérés flottent alors librement dans le sang provocant des dommages oxydatifs. Les poumons ont 3 défenses primaires pour maintenir «l'homéostasie du fer», dont 2 dans les alvéoles. Le premiere est constitué par de petits macrophages qui errent et récupèrent les radicaux libres comme ce fer oxydant. Le second est une doublure sur la surface épithéliale qui a une fine couche de fluide riche en molécules antioxydantes. Mais ces mécanismes sont dépassés par l'excès de fer oxydant et c'est ainsi que commence le processus de stress oxydatif pulmonaire qui conduit à une inflammation, qui entraîne à son tour la fibrose. C'est systématiquement bilatéral avec le covid19 alors que la pneumonie ne fait que rarement cela. Une fois que le corps est devenu hors de contrôle, avec tous les transporteurs d'oxygène qui circulent à vide, et des tonnes de la forme toxique de fer flottant dans la circulation sanguine, d'autres défenses se déclenchent. Alors que les poumons sont occupés par tout ce stress oxydatif qu'ils ne peuvent pas gérer, les organes sont affamés en O2 et le foie essaie de faire de son mieux pour éliminer le fer et le stocker. Seulement, il est submergé aussi. Il est affamé d'oxygène et libère une enzyme appelée alanine aminotransférase (ALT). Finalement, si le système immunitaire du patient ne combat pas le virus à temps avant que sa saturation en oxygène dans le sang ne baisse trop bas, ventilateur ou pas, les organes commencent à s'arrêter. La seule façon d'essayer de les maintenir en vie est le maximum d'oxygène, Lorsque les ions de fer sont dépouillés de leur hémoglobine l'intubation pour ventilation est futile dans le traitement des patients mais ne s'attaque pas à la racine de la maladie. . place des thérapeutiques antivirales
Communiqué de l'ordre national des médecins(CNOM) .
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